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 Liberia et autres pays : Ebola

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Pearl
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MessageSujet: Liberia et autres pays : Ebola    Liberia et autres pays : Ebola  Icon_minitimeSam 4 Oct - 13:57

Liberia : Ebola décime les congrégations religieuses
Le 3 octobre 2014

« Nous ne pouvons plus nous occuper de tous les malades. Parmi les 160 personnels de santé, 80 sont déjà décédés à cause de la fièvre Ebola », explique Mgr Miroslaw Adamczyk, nonce apostolique pour le Liberia, le Sierra Leone et la Gambie, dans un message écrit à L’Aide à l’Église en détresse le 2 octobre 2014. « De nombreux membres de congrégations religieuses masculines et féminines comptent parmi les défunts. »

Dans les paroisses catholiques du Liberia, l’accent est mis sur la prévention : « Depuis début août, il y a des récipients pleins d’eau chlorée à l’entrée de chaque église, pour que les gens s’y lavent les mains. Aux messes dominicales, nous rappelons inlassablement les gestes de prévention. »

L’archevêque redoute les conséquences économiques du virus au Liberia. Entreprises et magasins restent fermés, privant toute une frange de la population de revenus réguliers. Les prix montent en flèche. Il n’existe aucune protection sociale nationale. « Il n’y a plus d’hôpitaux ni d’établissements scolaires. »

Le nonce craint que n’éclatent des « troubles sociaux ».
http://www.aed-france.org/actualite/liberia-ebola-decime-les-congregations-religieuses/

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MessageSujet: Re: Liberia et autres pays : Ebola    Liberia et autres pays : Ebola  Icon_minitimeMer 8 Oct - 19:50

A Monrovia, comme si Ebola n’existait plus

LE MONDE | 07.10.2014

Il y a des rires éclatants et de la musique qui couvrent le bruit des vagues océanes sur la terrasse du Lila Brown à Monrovia. Des Libériennes et Libériens, trentenaires et plutôt aisés, se mêlent aux étrangers, en ce dimanche 5 octobre, à quelques pas de l’ambassade américaine, des grandes agences de l’ONU et du plus chic hôtel de la ville. Oublié le slogan anti-épidémie : « Tu en touches un, tu tues tout le monde. » La peur d’Ebola, ce virus mortel transmissible par contact avec les fluides d’une personne infectée – y compris la sueur et la salive – aurait-elle disparu ? Il y a trois semaines, un salut s’exprimait brièvement par une tape coude contre coude, et le moins possible avec un inconnu. Les marchés étaient déserts, les rues moins fréquentées, les bars et discothèques fermés. Ce n’est plus vraiment le cas.
Dans le quartier de West Point, à Monrovia, début septembre 2014.

La mort rôde, pourtant. Et elle frappe. Pour s’en convaincre, pas besoin de consulter les courbes ascendantes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – 3 500 morts en six mois, dont la moitié au Liberia. La réalité est à portée de main. A cent mètres de l’insouciance du Lila Brown, peu avant une plage populaire bondée, une équipe de la Croix-Rouge libérienne, protégée par des combinaisons étanches, ramasse au fond d’une impasse, le corps de Seidou, chauffeur de taxi du quartier. Dans la petite foule de curieux, on raconte qu’on le savait malade mais qu’il refusait d’être conduit à l’hôpital. « Il y a trois jours, il est venu chercher de l’essence. Il tremblait et suait, je ne l’ai pas servi », raconte le garagiste.

« CERTAINS MALADES SE CACHENT »

Tous décrivent des symptômes caractéristiques d’Ebola : fièvre, saignements, diarrhées, vomissements. Mais chacun jure qu’il est mort d’autre chose. L’attitude de déni présente il y a six mois, au début de l’épidémie, ressurgirait-elle sous une autre forme ? A écouter ses voisins, Seidou serait venu là, pendant la nuit, agoniser comme un animal blessé à mort derrière ce tas de sable d’où la Croix-Rouge tire maintenant son corps. Si près de chez lui, si loin du premier centre de traitement ? A moins que son cadavre n’ait été abandonné là par ses proches. Ses colocataires, potentiellement contaminés, ont fermé les volets, mis les cadenas sur les portes et déserté la petite maison à un étage rongée par les embruns et la mousse. Ils ont échappé à une quarantaine certaine imposée autant par le voisinage que par les familles des malades elles-mêmes. Ils n’ont pas attendu les contacts tracers, ces équipes chargées, pendant les vingt et un jours d’incubation, de visiter ceux qui ont approché de très près les malades.

L’atmosphère qui règne dans le quartier privilégié de Mamba Point flotte aussi dans les venelles insalubres et bondées de West Point. Il y a comme un air de défiance à l’égard des autorités et une accoutumance à la maladie. Ce qui complique la lutte contre le virus et la collecte de données épidémiologiques. Une fillette de 12 ans est morte dans ce bidonville, vendredi. « Elle habitait à côté d’une maison contaminée. Ses parents ont refusé de la laisser partir en ambulance », raconte Saah Bundoo, l’un des 17 contacts tracers de ce bidonville de 70 000 habitants recrutés par l’ONG française Action contre la faim (ACF). « Ils disaient que personne n’allait s’occuper d’elle là-bas, que c’est un mouroir, qu’on demande de l’argent pour les emmener. Personne ne fait confiance au gouvernement. Certains malades se cachent ou quittent le quartier », ajoute-t-il. Ils constituent autant de sources de contamination et montrent que les messages de prudence ne sont pas toujours perçus. Ou qu’ils sont détournés. « On a connu la guerre, les gens s’adaptent et ne croient pas grand monde », relativise Hassan Bility, responsable régional de l’ONG Global Justice and Research Project.

Le premier cas officiel, confirmé par l’Institut Pasteur, en Guinée, remonte au mois de mars. Le virus a ignoré la frontière. Le feu a gagné Monrovia durant l’été. Tueuse, pernicieuse, l’épidémie a décimé des familles entières, épargné des voisins. Elle a fléchi au nord dans la région du Lofa, proche de la Guinée, rebondi ces derniers temps dans le comté du Bong, plus au sud. Les 15 comtés, soit la totalité du pays, sont désormais touchés.

DE NOUVELLES DONNÉES INQUIÉTANTES

Passé le moment d’incompréhension face à une maladie qui apparaissait pour la première fois dans cette partie de l’Afrique, surmontée la lenteur de mise en route des organisations internationales ou des grandes puissances, la réponse s’organise. « Beaucoup a été fait mais plus encore reste à faire », résumait, il y a peu à Monrovia, Anthony Banbury, le représentant spécial du chef de l’Unmeer, mission d’urgence de l’ONU contre Ebola, la première de ce genre créée pour lutter contre une épidémie.

Certes les intervenants sur le terrain mesurent le temps perdu. Mais les 3 000 GI promis par le président Obama commencent à débarquer. Des équipements médicaux arrivent par avions cargos. Un corridor aérien a été ouvert depuis Dakar. A Monrovia, l’OMS et le ministère de la santé gèrent dorénavant trois unités de traitement contre Ebola (ETU), là où Médecins sans frontières (MSF) fut bien seul pendant longtemps. Les Américains ont aussi ouvert un laboratoire de test dans le comté de Bong, au centre de traitement établi par l’International Medical Corps (IMC) et ils ouvriront d’ici à la fin du mois d’octobre quatre nouvelles ETU de 100 lits chacune, parmi les 17 promises par Washington. Enfin, MSF gère un centre à Foya, dans le Lofa.
A Babama, au Liberia, en septembre 2014.

« C’est mieux mais ce n’est toujours pas assez », prévient Laurence Sailly, de MSF Belgique et coordinatrice des urgences à l’ETU d’Elwa, à Monrovia, le plus grand de la région. En province, le terrain est encore terriblement dégarni. Et dans la capitale, il y a plus d’un mois, MSF évaluait à 1 000 le nombre de lits nécessaires afin d’isoler environ 70 % des malades, le seuil estimé par les épidémiologistes pour stopper la progression de la catastrophe. Il n’y en a encore que la moitié.

« Pendant ce temps-là, il y a de nouvelles données que l’on ne comprend pas et qui nous inquiètent », ajoute Thomas Curbillon, le chef de l’antenne de MSF France au Liberia. Le nombre d’admissions – une vingtaine par jour – est stable à Elwa. Mais les 100 lits qui y ont été ajoutés sont vides. Il y a peu, pourtant, les malades se pressaient aux portes du centre, parfois refoulés par manque de place. « Certes, le centre est loin du centre-ville et d’autres capacités d’accueil ont été créées. Certes, les taxis ont compris qu’ils ne devaient plus transporter de malades et le système d’ambulances dysfonctionne, mais il ne faut surtout pas en conclure que la maladie s’est éteinte », avertit Laurence Sailly.

STIGMATISATION

Ainsi, Monrovia compte paradoxalement moins de morts ces dernières semaines. Chez Abraham Robert, dans le quartier de Gardnerville, les cercueils capitonnés de satin aux poignées dorées ou en simple bois peint s’entassent dans son atelier. « Ebola nous donne faim », lâche Saah, l’un des menuisiers. « Un seul cercueil vendu en deux semaines, contre vingt-cinq en temps normal », compte-t-il en cousant une croix de velours violet sur une parure blanche. « C’est étrange, confirme Thomas Curbillon. Hors épidémie, il y a quarante morts par jour à Monrovia. Aujourd’hui, il y en a peu près autant, dirigés vers le crématorium qui tourne vingt-quatre heures sur vingt-quatre. » Où sont passés les autres, alors que le ramassage des corps est désormais réservé à des équipes spécialisées qui les dirigent ensuite vers le crématorium ? Est-ce un indice : sur le chantier d’un futur centre de traitement d’Ebola, les excavatrices ont sorti deux corps, enterrés en douce.



« Il y a un tassement du nombre de cas d’Ebola enregistrés à Monrovia. Le risque est que l’on ait atteint un palier, lié notamment à la période d’incubation et que cela reparte de plus belle ensuite. C’est courant dans les épidémies. Et la stigmatisation liée à ce genre de maladie pousse les gens à se cacher », ajoute M. Curbillon.

Cet écueil, la présidente libérienne l’a balayé d’un revers de la main. Dans un entretien à France 24, Ellen Johnson Sirleaf déclarait que « même si Monrovia est particulièrement touchée par le virus, nous constatons une légère baisse du nombre de personnes qui se rendent dans les centres de traitement ». Elle ajoutait que son pays est « en bonne voie d’éradiquer l’épidémie ». « Il n’existe pas de comptage précis des morts, des malades, des cas suspects dans certains comtés et celui de Monrovia est mauvais, s’étonne M. Curbillon. On a parfois l’impression d’un retour en arrière, d’une forme de déni de la réalité sanitaire. »

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MessageSujet: Re: Liberia et autres pays : Ebola    Liberia et autres pays : Ebola  Icon_minitimeVen 24 Oct - 19:53

L’OMS veut tester dès décembre des vaccins contre Ebola en Afrique

Par lejournaldusiecle le 24 octobre 2014 • ( 1 )

Le Dr Marie-Paule Kieny, directrice-générale adjointe de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a annoncé que des tests pour des vaccins contre le virus Ebola seront menés si possible en décembre prochain en Afrique occidentale.

Le Dr Marie-Paule Kieny, directrice-générale adjointe de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a annoncé que des tests pour des vaccins contre le virus Ebola seront menés si possible en décembre prochain en Afrique occidentale.

Au cours d’une conférence de presse jeudi consacrée à la question des vaccins contre Ebola, le Dr Kieny a annoncé que des centaines de milliers de doses de vaccins sont prévues pour l’Afrique occidentale d’ici la fin du 1er semestre 2015.

Des tests sont actuellement en cours aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et au Mali, a ajouté la scientifique française, et d’autres devraient commencer prochainement notamment en Suisse et en Allemagne. Elle a notamment indiqué que des recherches étaient en cours pour cinq vaccins, et pourraient donner des résultats dans les premiers mois de 2015.

Dans une déclaration publiée sur le site internet de l’OMS, le Dr Kieny indique qu’elle est volontaire pour tester un vaccin contre Ebola, en signe de solidarité avec les nombreux personnels de santé, touchés par l’infection et qui ont perdu leur vie.
encore les pauvres populations africaines !!!!
une autre maniere d'essayer de les exterminer.

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MessageSujet: Re: Liberia et autres pays : Ebola    Liberia et autres pays : Ebola  Icon_minitimeVen 24 Oct - 19:59

Ebola: L'OMS pourrait déclarer la fin de l'épidémie en novembre en RDC

La République démocratique du Congo pourrait d'ici fin novembre être déclarée comme un pays qui n'est plus touché par l'épidémie Ebola, après 2 mois sans nouveau cas déclaré, a indiqué vendredi l'OMS (Organisation mondiale de la santé).
Une souche différente de celle d'Afrique de l'Ouest

L'épidémie actuelle d'Ebola en RDC, qui a commencé en août, concerne une souche différente de celle qui sévit en Afrique de l'Ouest. Il y a eu en RDC 66 cas d'Ebola, dont 29 décès, touchant notamment 8 personnels soignants.

«Tous les contacts ont été repertoriés et suivis, et le dernier et le dernier contact a été testé deux fois negatif à Ebola», a indiqué la porte-parole. Le test négatif a eu lieu le 10 octobre, et il faut attendre 42 jours à partir de cette date pour dire que la flambée d'Ebola en RDC est terminée, a-t-elle ajouté.
http://www.20minutes.fr/monde/1467639-20141024-ebola-oms-pourrait-declarer-fin-epidemie-novembre-rdc

scratch scratch scratch

pas la meme souche... ?? que savent-ils de ces souches qu'ils ne nous disent pas ??

il y a des equipes de 'chercheurs' (en on ne sait quoi) dans la foret tropicale humide profonde... qui travaillent en dehors de TOUT controle.....

mais dans les pays comme Gabon, Congo Brazza, Guinee Equato, ou il y avait eu des 'ebola' dans le passe
tout etait rentre dans l'ordre sans l'aide de l'oms et de ses labos pharmaceutiques meurtriers d'une autre facon... que sait-on au juste de ces vaccins ??? ne contiennent-ils pas une souche d'un autre virus 'inconnu' aujourd'hui et qu'on va nous brandir demain comme une menace

je serais africain, je refuserais de me faire vacciner avec leurs saloperies

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