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  ceux.. qui ONT gouverne la France...

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Pearl
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MessageSujet: ceux.. qui ONT gouverne la France...     ceux.. qui ONT gouverne la France...  Icon_minitimeVen 4 Mar - 14:26

Madame Sadi Carnot

Cette femme, intelligente et cultivee, sut donner aux receptions un eclat de bon aloi. Elle etait affable et souce, se signalait par sa charite discrete et efficace. Le president et elle eurent 4 enfants qui firent a leur tour souche de belles famille. Vous savez que Sadi Carnot a ete assassine a Lyon le 24 juin 1894. Il ne laissait que fort peu de ressources a sa veuve, ayant un jour confie a son frere Adolphe : " Je ne dois pas garder un centime de ce que le Tresor m'accorde, mais je dois faire de mon traitement un usage propre a rendre honorable, sinon eclatante, la representation de la France ". Les Dames francaises ouvrirent une souscription en souvenir du President. Madame Carnot en fit don a l'Academie des Sciences pour en distribuer annuellement les revenus a des veuves d'ouvriers chargees d'enfants. Ce fut la Fondation Carnot.
Et comme le Conseil des ministres voulait saisir la Chambre d'un projet de loi accordant a la veuve du president une pension nationale, elle repondit :
' Bien que tres touches, nous avons estime, mes enfants et moi, que la France, en faisant au president Carnot, avec une telle unanimite, des obseques nationales si grandioses, lui a rendu le supreme hommage, le seul digne d'elle et de lui'.

(il y aura d'autres exemples, de ces 'dames'.. ces 'grandes dames' ! - et je vous dirai ensuite ou j'ai puise ces informations.

_________________
« Tu es grand, Seigneur, et louable hautement… Tu nous as faits pour Toi et notre cœur est sans repos tant qu’il ne se repose pas en Toi » (saint Augustin).
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MessageSujet: Re: ceux.. qui ONT gouverne la France...     ceux.. qui ONT gouverne la France...  Icon_minitimeVen 4 Mar - 14:48

Il semble que les gens honorables ne soient pas tres celebres par nos historiens et medias... on trouve tres peu sur Madame Sadi Carnot



Marie Pauline Cécile Dupont-White « Première dame de France » Une épouse investie



Le couple Carnot entre au palais de l'Élysée le 3 décembre 1887, après l'élection de Sadi Carnot, qui suit la démission du précédent président de la République, Jules Grévy. Plus au fait de la vie mondaine parisienne, Cécile Carnot compte bien redonner au palais une certaine stature. Quittant leur immeuble du 11, rue Roquépine, c'est le premier couple présidentiel à y entrer avec des enfants encore à charge.

Très impliquée dans la vie élyséenne, la « première dame » organise les trois bals annuels de l'année, ce qui demande beaucoup de temps et d'argent, si bien qu'elle paie parfois de sa poche ces fêtes pouvant dépasser mille invités. Elle réintroduit la danse lors des réceptions : on voit ainsi la valse, le quadrille voire la farandole être dansés dans la salle des fêtes et dans le jardin. Trouvant le palais très morne, elle fait aussi installer un kiosque à musique dans le parc et crée des garden parties où l'on va jusqu'à jouer au lawn tennis (tennis sur gazon), selon la mode britannique de l'époque1.

Elle fait venir au palais des chats angora et crée l'arbre de Noël de l'Élysée, pour les enfants pauvres, une tradition suivie depuis par tous les hôtes de l'Élysée. Elle inaugure la salle des fêtes du palais de l'Élysée le 25 mai 1889 en grande tenue : « Madame Carnot porte une robe de satin de Lyon gris perle brodée d'argent avec garniture de plumes du même ton et épaulettes de diamants »1.

Plusieurs fois par semaine, après le repas, le couple rend visite à Lazare Hippolyte Carnot, père du président, dans son appartement du 122 rue La Boétie. Ils se promènent souvent, discrètement escortés, sur l'avenue des Champs-Élysées ou sur les grands boulevards, passent des week-ends au château de Fontainebleau, où sont organisées des fêtes avec feux d'artifice.
Les tourments de la vie élyséenne
(Wikipedia)
Lors de la crise liée au général Boulanger, alors que la foule presse ce dernier de marcher sur l'Élysée, elle va dans un salon du palais prier, avec des généraux. Finalement, le coup de force n'a pas lieu.

Alors que les assassinats de personnalités par le mouvement anarchiste sont fréquents, Cécile Carnot confie, en juin 1894, dans un salon du palais à des amies : « Voilà sept ans que nous n'avons plus de vie de famille ; heureusement, le mandat se termine en décembre et nous allons pouvoir vivre comme des gens normaux »1. Mais le 24 juin, à Lyon, Sadi Carnot est assassiné. Son corps est ramené la nuit même au palais de l'Élysée. L'Assemblée nationale décide peu après d'organiser des obsèques nationales puis, plus tard son transfert au Panthéon de Paris. La reine Victoria du Royaume-Uni, qui aussi avait perdu avec douleur son mari Albert trente trois ans plus tôt, lui écrit « Mon cœur de veuve saigne pour vous »1.

Elle refuse alors la pension que souhaite lui verser le gouvernement. Elle décède en 1898 d'une maladie cardiaque au château de Presles, à Cerny.

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MessageSujet: Re: ceux.. qui ONT gouverne la France...     ceux.. qui ONT gouverne la France...  Icon_minitimeVen 4 Mar - 14:57

pardon, un journaliste honora cette dame... c'etait en... (fin de l'article)

Le Figaro Archives vous propose de revivre le tout premier arbre de Noël fêté à l'Elysée. Le 25 décembre 1889 Madame Carnot reçoit 400 petits écoliers parisiens dans la nouvelle Salle des fêtes du Palais inaugurée le 10 mai 1889.


Article paru dans Le Figaro du 26 décembre 1889




Noël chez Madame Carnot


Il n'y a plus de politique dès qu'il s'agit de charité. Quand je quête pour mes pauvres, disait un jour un vieux prêtre à un riche député radical, j'aime mieux les mille francs d'un révolutionnaire que de dix francs d'un conservateur. Rien ne nous empêchera de déclarer que Madame Carnot a réalisé hier, et de façon exquise, la plus charmante idée qui soit.

A partir de midi et demi, quarante omnibus, ayant traversé dans toute sa longueur, le jardin de l'Elysée, ont amené devant le perron du palais 400 enfants, escortés de leurs maîtres et maîtresses et des vingt maires de Paris.

Pendant que ces derniers se rendent dans le salon d'honneur, les instituteurs installent les enfants sur des bancs de velours dans la nouvelle galerie du palais.

Pauvres petits! Le plus âgé à dix ans à peine. Le plus riche malgré tous les soins pris par maman, laisse voir ou un coude rapiécé ou des bas raccommodés. Il en est un qui a les pieds nus dans des bottines troués. Tous pourtant sont relativement propres, ils sont en visite chez le Président de la République. Et ils le savent bien, allez. Beaucoup demandent: «Où est-ce qu'il est?» Ils sont très sérieux, presque solennels. Ils regardent avec admiration les belles tapisseries qui les entourent et les dix sapins gigantesques dont deux se dressent à leur droite, deux à leur gauche et six dans la serre voisine, tout chargés d'objets multicolores qui se balancent et scintillent. Une petite fille demande une camarade «comment on fera pour décrocher la belle poupée qui est pendue si haut, si haut.»

Les deux cents futures demoiselles sont assises au milieu, en face d'un théâtre de marionnettes. Les deux cents garçons déjà protecteurs, les encadrent. Et malgré tant d'enfants, quel silence! Il faut s'approcher pour les entendre se poser ces petites questions que les mioches ont toujours sur les lèvres: «Quoi qu'on en fera? Quand est-ce qu'on commencera? Vois-tu ce qu'on a écrit dans les coins: Bonheur, Patrie? Qui c'est ce monsieur qui tourne autour des arbres?

C'est le commandant Chamoin qui, ayant tout installé avec la Présidente, donne un dernier coup d'oeil aux arbres, compte pour la dixième fois les paniers, les livres.

«Les maires ont prié les instituteurs et institutrices de leur désigner les enfants les plus pauvres et les plus intéressants»

Un petit brouhaha se fait. Vite le commandant accourt et s'informe. C'est bien drôle. Les maires ont prié les instituteurs et institutrices de leur désigner les enfants les plus pauvres et les plus intéressants. Ils ont ensuite choisi sur les listes et les vingt élus qui devaient fournir chaque arrondissement. Or, une petite fille du IVe arrondissement, ayant été désignée par l'institutrice mais non choisie par le maire, n'a pas accepté cette exclusion. Partie de chez elle à pied, elle s'est présentée toute seule à l'Elysée en disant aux huissiers: «j'ai été choisie par ma maîtresse.» Et la voilà. On juge de l'embarras de l'institutrice.

-Ca ne fait rien, dit le commandant Chamoin, il y a des joujoux en trop. Seulement, nous n'avons pas eu ton nom, mon enfant, tu n'auras pas de livret.

-Oh! je serai contente tout de même, Monsieur. Merci bien de ne m'avoir pas mise à la porte.

Pendant ce temps, le deuxième doyen des maires, M. Sextius Michel, du XVe, présente ses collègues à Madame Carnot et la remercie au nom des vingt arrondissements.

Une heure sonne. La musique sans 115e de ligne joue la Marseillaise, et la Présidente, au bras du général Brugère, fait son entrée dans la nouvelle galerie.

Madame Carnot, en robe de soie à grandes raies noires et blanches, a sur les épaules une écharpe de fourrure. Ses cheveux noirs, très épais, ne portent aucun ornement.

Elle vient se placer à côté du petit théâtre et, se tournant vers ses invités, leur dit très simplement:

- «Mers chers enfants, je vous remercie bien d'avoir répondu à mon appel. Le Président de la République se faisait une fête de venir au milieu de vous. Par malheur, il est encore forcé de garder la chambre et le lit. Sa maladie néanmoins n'offre aucun danger et ne doit pas attrister votre Noël.

«Un fusil aux garçons, une poupée aux petites filles»

J'aurai le plaisir tout à l'heure de remettre à chacun de vous des objets qui vous seront personnels et qui seront bien à vous ; un livret, un vêtement, un volume, un fusil aux garçons, une poupée aux petites filles ; mais nous devons également penser à ceux qui ne sont pas ici, à vos frères à vos sœurs. Vous trouverez pour eux dans vos paniers, des images, du chocolat et vous partagerez entre eux les petits joujoux qui vous seront donnés en dernier lieu. En attendant, asseyez-vous. Des marionnettes vont vous jouer la comédie.»

Les enfants applaudissent. La toile du petit théâtre s'ouvre et les poupées de monsieur Darthenay jouent ces petites comédies, qui sont si immorales, mais qui amusent tant les enfants. Un cuisinier rosse successivement un domestique, un commissaire, un juge. Un collégien fait des niches à son professeur et tourmente tout le monde autour de lui. Les petits spectateurs se tordent.

En leur nom, le doyen des maires, monsieur Emile Ferry, remercie Madame Carnot, qui fait un signe au commandant Chamoin et prend le bras du général Brugère. Elle conduit à la salle à manger les enfants de deux arrondissements. Pendant ce temps, le spectacle continue pour les autres.

Dans toute la longueur de la salle à manger, un buffet est dressé.

Quarante couverts sont prêts. Les enfants se mettent en ligne. On sert à chacun d'entre eux une tasse de chocolat, une brioche, un condé, une madeleine, un verre de vin chaud. Ils sont très gentils, ces petits. La plupart se contentent de manger de la brioche. «Pour maman, pour ma sœur, pour mon frère» disent-ils en remportant le condé et la madeleine.

Madame Carnot les conduit ensuite devant un arbre de Noël, remet à chaque enfant un panier dans lequel sont déjà des images et une demi-livre de chocolat, un livret de la caisse d'épargne, sur lequel sont écrits, à côté du nom du destinataire, ces mots: «Dons de monsieur Carnot, Président de la République, somme versée: dix francs .» Aux petites filles une capeline une poupée, aux petits garçons une pèlerine à capuchon et un fusil.

J'examine un des vêtements. Cela inspire au général Brugère cet affreux mot dont je lui ai promis de me venger en l'insérant:

-Cela ne doit point vous intéresser. Ce n'est pas un Jersey.

Madame Carnot distribue ensuite à chaque enfant un très joli volume de la maison Quantin, un sucre d'orge et six petits jouets à partager entre les absents. Pour prendre tout cela, elle se hausse, elle se baisse. Elle doit avoir aujourd'hui une jolie courbature. A côté d'elle le général Brugère , le colonel Lichtenstein, les commandants Chamoin, Toulza et Kornprobst montent à l'échelle pour détacher les objets placés au faîte du sapin.

Parfois un enfant dit:

-Monsieur, il y a encore quelque chose là-haut, à votre droite, là, là.

Mais c'est tout. On entend guère que «Merci, madame. Merci, Monsieur». Pas de cris. Pas d'exubérance, malgré le vin bu. Une grande timidité.

-C'est la première fois, me dit une institutrice, que je vois une petite fille se contenir devant une poupée, un garçon devant un fusil.

Le luxe ambiant terrorise les pauvrets.


Deux arrondissements satisfaits, on en prend deux autres, et les mêmes scènes recommencent. Mais on s'aperçoit que les enfants qui ont déjà leur panier rempli prennent bien moins plaisir au spectacle que ceux qui ne sont pas encore servis. Ils auraient envie d'essayer le vêtement, de s'amuser avec les joujoux, de raconter la fête à maman. On fait approcher les omnibus et on les reconduit chez eux. Ainsi peu à peu l'Elysée s'éclaircit. A quatre heures, il n'y reste plus que quarante enfants.

Combien a coûté cette fête?


C'est Madame Carnot seule qui a fait des achats; elle désire ne se souvenir que du plaisir de la journée. Elle y sera aidée par le Noël d'une petite pauvre, une très jolie pièce de vers dont Madame Antonine Julian Fèvre lui a fait hommage entre deux arbres de Noël.

Et il se trouve déjà des gens qui disent: «Il y a après tout que 400 pauvres qui ont été de la fête».

Rien n'empêche que l'exemple si bien donné ne soit suivi par les femmes des ministres, des maires et de tous ceux qui récriminent.


Charles Chincholle.


Charles Chincholle, journaliste et écrivain (1845-1902) entre au Figaro en 1872, après avoir été le secrétaire d'Alexandre Dumas. Il est l'auteur de romans «Les jours d'absinthe» (1887), «Le joueur d'orgue» (1890), «Paula» (1889), d'ouvrages d'histoire, «Les survivants de la Commune» (1885), de politique et de philosophie.

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MessageSujet: Re: ceux.. qui ONT gouverne la France...     ceux.. qui ONT gouverne la France...  Icon_minitimeVen 4 Mar - 15:04

Sadi Carnot etait humaniste, comprenez franc-macon... comme quoi il y a des gens honnetes partout et en tous temps....

une loge porte son nom..

a notre tour de connaitre ce president...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sadi_Carnot_%28homme_politique%29

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